À Cordemais, le petit port, bien à l’abri dans un bras secondaire de la Loire, et la centrale thermique d’EDF, l’un des « châteaux de fer » de l’estuaire, traduisent dans le paysage le lien étroit qui unit la commune au fleuve maritime. La communion estuarienne, établie depuis le XIe siècle, a évolué au fil du temps ; les deux « paléoports » – le port-fossile et le port-relique – témoignent de cette évolution qui s’affirme, par la construction du plus important site thermique de France, de manière magistrale, voire artistique : l’expression visible de « Cordemais en estuaire ».