Du traité par lequel le chef des Batéké Makoko cède à Savorgnan de Brazza des terres sur la rive droite du Congo à l’apparition des grands équipements dès 1947, la novatrice « Brazzaville blanche » influence peu à peu l’infraconstruction des « Brazzavilles noires ». Reste le partage commun d’une cité-jardin à l’européenne et à l’africaine : « Brazzaville-la-Verte ».